Une architecture informatique rationalisée, solution écologique

Enjeu incontournable pour les entreprises, l’écologie est aujourd’hui une obligation tant la réduction de la consommation d’énergie est essentielle. Cependant, c’est également une tendance forte qui permet de multiples économies. L’informatique se met au service de l’écologie et vise versa.

Diminuer les consommations d’énergie, demande de réduire les dépenses en électricité en consolidant le parc de serveurs, en développant l’extinction automatique des PC (cela réduit aussi les risques d’intrusions) ou en gérant globalement les systèmes de climatisation des bureaux. Le service informatique peut ainsi être le premier à économiser.

Autre solution aussi économique qu’écologique, la réduction des coûts d’achats et de l’administration permet une meilleure réactivité et disponibilité. Cela passe par la virtualisation des infrastructures grâce à de gros serveurs, des serveurs lames ou une architecture de type « client léger ». La rationalisation du système d’information et les outils de télédistribution contrôlant à distance évitent de se déplacer. Résultat : moins de pollution et un gain de temps évident.

 

 


2. Optimiser la consommation d’énergie

Opter pour des onduleurs et des systèmes de climatisation moins puissants optimise la capacité des locaux. De plus, un PC qui consomme moins chauffe moins, sa ventilation réduite diminue sa ventilation sonore. En outre, pour éviter de laisser les PC sous tension le soir, afin qu’ils effectuent des opérations de mises à jour, un outil de télédistribution est désormais capable de mettre sous tension puis d’éteindre un parc entier de PC.

La consommation d’énergie peut aussi être optimisée avec les applications et les services en ligne hébergés. L’entreprise limite son implémentation de serveurs et peut se permettre d’acheter des terminaux légers consommant moins qu’une unité centrale traditionnelle. De son côté, l’hébergeur du service en ligne s’occupera de mutualiser ou non l’espace de stockage disponible.

3. Supply Chain verte

Enfin, les économies d’énergies peuvent également passées par une Supply Chain verte et optimisée. Le commerce en ligne en est un bon exemple avec l’acheminement commun des marchandises vers des points relais-colis. Il y a donc moins de pollution vis-à-vis du transport et les coûts sont véritablement mutualisés et partagés.

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Journaliste de formation, j'occupe actuellement la fonction de rédacteur au sein du réseau des sites Internet de services aux entreprises du groupe Libbre. Je peux justifier d'une expérience de six ans dans la presse quotidienne angevine au sein de trois quotidiens : la Nouvelle République, Ouest-France puis le journal majoritaire en Maine-et-Loire : le Courrier de l'Ouest (2007-2009).

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