Le protocole sanitaire applicable en entreprise a été renforcé par le gouvernement. Face à l’accélération de l’épidémie de la Covid-19 dans de nombreux territoires, le ministère du Travail a réactualisé les règles sanitaires à respecter dans les entreprises pour limiter les risques de contaminations en milieu clos. Le télétravail, présenté depuis plusieurs mois comme une parade-clé pour réduire les interactions sociales, propices à la propagation du virus, est une « règle extrêmement importante » a martelé mardi dernier le Président Emmanuel Macron lors d’une visite d’entreprise à Valenciennes. Afin d’inciter les employeurs des territoires actuellement reconfinés à le mettre en œuvre et à le généraliser, le nouveau document leur impose d’élaborer « un plan sur les prochaines semaines prévoyant des actions destinées à  réduire au maximum le temps de présence sur site des salariés en tenant compte des activités télétravaillables au sein de l’entreprise». Ce plan, qui doit faire l’objet d’échanges entre les dirigeants et les instances représentatives du personnel, devra être présenté à l’Inspection du Travail « en cas de contrôle » précise le protocole. Cette obligation s’inscrit dans la logique de contrôle renforcé dont le gouvernement s’est fait le chantre la semaine dernière pour convaincre les employeurs récalcitrants à proposer à leurs salariés des formules de travail à distance. Pour les actifs qui exercent leur activité à domicile à temps plein, le retour au bureau reste toutefois « possible une fois par semaine maximum » à condition que cette mesure fasse l’objet d’un accord avec leur supérieur et réponde à un besoin exprimé par le salarié concerné. Afin de minimiser les risques qui pèsent sur les salariés positionnés sur des postes inamovibles, « un lissage des horaires de départ et d’arrivée » doit être opéré de manière à éviter « l’affluence aux heures de pointe». Les consignes les plus dures portent sur les « moments de convivialité entre collègues » que représentent les pauses-café ou les repas du midi peu propices à la distanciation physique et au port du masque. Les premières restent « suspendues » et les seconds soumis à une norme qui exige de «déjeuner seul en laissant une place vide en face de soi » précise le texte. Dans ces espaces collectifs de restauration, une jauge maximale d’une personne pour 8m² entre en vigueur avec un éloignement de deux mètres minimim entre chaque usager. Interrogé mardi sur RTL, Laurent Pietraszewski, secrétaire d’Etat chargé de retraites (il remplaçait la ministre du Travail Elisabeth Borne, contaminée par la Covid) a martelé qu’ «Il faut tout faire pour manger seul», c’est comme ça qu’on se protège et qu’on protège les autres».

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Selon le baromètre Paris Workplace, 86% des salariés souhaiteraient continuer à travailler à distance au moins une fois semaine. Le travail au bureau, et en open space, appartient-il définitivement à ce monde d’avant que d’aucuns vouaient, lors du premier confinement du printemps dernier, à une disparition certaine à l’issue de la crise sanitaire ?C’est peut-être aujourd’hui que la question se pose, alors qu’une issue définitive à l’épidémie semble se profiler avec la sortie des premiers vaccins. En deux vagues, les salariés français ont goûté au télétravail en 2020, d’abord entre mars et mai, époque où les restrictions de déplacement ont été les plus strictes, puis en cette fin d’année, avec l’entrée en vigueur d’une deuxième confinement –un peu plus lâche – le 30 octobre. Mesure qui s’est traduite par des consignes on ne peut plus claires adressées aux employeurs par le gouvernement : la ministre du Travail Elisabeth Borne avait fait savoir qu’au vue des circonstances, la nécessité d’exercer son activité professionnelle à distance n’étaient « pas une option ». Comment ces deux périodes ont-elles influé sur les comportements des salariés et bousculé leurs certitudes sur leur rapport à l’entreprise ? Pour le savoir, L’IFOP et SFL (Société foncière lyonnaise) ont mené une enquête auprès des premiers concernés, autour de cette problématique : « Bureaux, l’heure de vérité. Après la crise, où travaillerons-nous demain ? » L’intérêt de ce baromètre Paris Workplace 2020 est qu’il s’est déroulé en deux temps, le premier avant la confinement de mars (c’était en février), et le second en septembre. Le panel est constitué de 1 500 salariés franciliens . Qu’en ressort-il ? Un enseignement d’abord : 63 % des sondés continuent à voir dans le bureau « le lieu de travail principal » où il souhaitent exercer travailler la majorité de leur temps, soit au moins trois jours par semaine. A propos du télétravail, 86 % des salariés indiquent vouloir le pratiquer « au moins un jour par semaine », un résultat qui n’a pas ou très peu évolué depuis février (87 %). Un changement toutefois : dans l’esprit des salariés d’ile de France, le nombre idéal de journées télétravaillées passe de 1,4 jour en moyenne par semaine à 2,1 jours. Seuls 8 salariés (8 %) affirment vouloir travailler exclusivement à domicile, selon le baromètre. L’enquête ajoute que « La vie sociale avec les collègues » est, pour 55% des sondés (+ 8 points entre février et septembre), le premier motif qui plaide en faveur du maintien d’une activité au bureau.

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Offrir un cadeau aux employés est devenu une pratique courante dans de nombreuses entreprises. Cette culture n’est pas instaurée par simple élan de gentillesse, elle offre différents avantages. Elle représente un puissant levier de développement pour vos activités. Cependant, pour que le cadeau produise l’effet escompté, il est primordial de ne pas se tromper dans le choix. Opter pour un cadeau qui intéresse réellement vos salariés Trouver le coffret cadeau idéal à offrir à vos collaborateurs n’est pas une tâche facile. Offrir pour offrir est une perte de temps et d’argent. Il est important que celui-ci les intéresse réellement. Pour ce faire, posez-vous les bonnes questions. Vous devez chercher à savoir s’ils aiment lire lors de leur pause-café, passer du temps ensemble pendant une soirée afterwork, ou simplement partager un moment convivial au restaurant. La solution est de vous y prendre à l’avance et d’interagir au quotidien avec vos collaborateurs. Être proche d’eux et les côtoyer tous les jours vont vous permettre de connaître les goûts de chacun. Ceci vous aidera aussi à trouver un cadeau consensuel qui fait plaisir à tout le monde. Par la même occasion, vous les placez sur un pied d’égalité. Avec un seul et même cadeau pour tout le monde, vous ne risquez pas de décevoir certains. Choisir un cadeau qui a de la valeur aux yeux de vos salariés Le présent offert à vos employés doit à la fois porter votre message et témoigner l’estime que vous avez envers eux. Il est déconseillé d’offrir des objets sans valeur à l’ensemble de votre équipe salariale au risque de passer pour un radin et de provoquer l’effet inverse. Elle forme une structure vivante, essentielle à vos activités. Le cadeau doit faire plaisir et refléter votre considération pour vos salariés qui vont le recevoir. Votre objectif est de montrer que vous reconnaissez leur implication dans les différents projets de votre société et que vous la valorisez. Ceci permet d’éviter tout sentiment de déception et d’indifférence sur le long terme. N’hésitez pas à les impliquer et demander leurs avis si besoin est. Cela permet de renforcer l’esprit d’équipe et le travail de groupe. Prendre en considération un certain nombre de critères de base Contrairement aux idées reçues, choisir le bon coffret cadeau à offrir à vos collaborateurs peut être une tâche complexe. Outre l’obligation de leur faire plaisir et de leur donner un cadeau significatif, il est important de ne pas perdre de vue des critères associés à l’image de votre entreprise. Le cadeau doit être efficace. Il doit à la fois satisfaire les envies de vos collaborateurs, transmettre votre message et véhiculer vos valeurs. Par ailleurs, il est indispensable de trouver le bon cadeau en fonction de l’évènement. Vous n’allez pas offrir le même cadeau pour la fin d’année, la signature d’un nouveau contrat, le remerciement des collaborateurs pour leurs performances, etc. Il est essentiel de les marquer avec sens. De même, lors de la remise, portez une attention particulière à la forme. Il est recommandé de

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En général lorsqu’un employé rejoint une entreprise, quelle que soit sa taille : petite, moyenne ou grande entreprise, il s’intéresse particulièrement à l’offre de l’entreprise en ce qui concerne les diverses charges prises par l’entreprise elle-même. La loi stipule en effet que l’employeur doit prendre en charge une partie des frais de transport des salariés entre leur domicile et leur lieu de travail. Que dit la loi sur l’obligation de l’employeur pour le remboursement des frais de transport ? Le remboursement des frais de transport des salariés est inscrit dans le Code du travail. L’article L. 3261-2 et R. 3261-1 met en avant que l’employeur est tenu de rembourser en partie les frais de transport engagés par le salarié, soit la moitié, afin qu’il puisse se rendre de sa résidence principale à son lieu de travail. S’il s’agit d’un ou de plusieurs abonnements, l’employeur lui-même se doit de s’occuper de 50 % de ces divers titres d’abonnements. Et tous les employeurs sont concernés par cette prise en charge, quel que soit l’effectif de ses employés. Afin de percevoir le remboursement sans difficulté, les employés devront vous présenter son titre de transport à chaque fin du mois au maximum. L’obligation en question concerne-t-elle tous les types de transports ? À vrai dire, tous les types de transports ne sont pas concernés par cette prise en charge, car seuls les transports en commun en font partie. Bien évidemment, les titres individuels tels que la voiture, les vélos ou les autres sont exclus à moins que le salarié possède une carte d’abonnement issu du service public. Toutefois, vous pourriez également refuser de participer aux frais de transport une fois que vous voyez que le salarié obtient déjà des indemnités correspondantes aux frais de déplacement supérieures ou égales au montant de cette prise en charge de 50 %. La prise en charge peut-elle aller au-delà de ses 50 % des frais de transport ? Oui ! Bien que la prise en charge soit basée sur un tarif en 2e classe, l’employeur peut également passer au-delà du montant selon son choix. Dans ce cas, la prise en charge reste exonérée de cotisations et contributions sociales dans la limite des frais réellement engagés. Selon les dires du Code du travail, le montant de prises en charge est fixé en fonction de la cotisation sociale et fiscale. Par contre, en tant qu’employeur, vous pourrez également prendre l’initiative de calculer ce montant à percevoir en fonction de la durée de leur travail. Si ce dernier est inférieur à la normale, la prise en charge sera donc calculée en fonction des heures travaillées. Participer à l’achat d’une trottinette électrique et ses avantages Eh oui ! En fin de l’année 2017, la loi en France a fait une déclaration, soit de donner une subvention spéciale aux entreprises sollicitant l’achat d’une trottinette électrique. Il s’agit d’un montant allant de 200 à 400 euros si l’on ne parle que de la somme à Paris. Afin de pouvoir circuler sans problème sur route, votre trottinette doit être conforme

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Les chefs d’entreprise ont aujourd’hui la possibilité d’évaluer le rendement et la performance de leurs employés à l’aide outils de pilotage adaptables et personnalisables. Grâce aux informations fournies par les outils il est possible de se prémunir d’éventuels risques menaçant la réussite de l’entreprise. La première préoccupation des dirigeants qu’il s’agisse d’une TPE ou d’une PME, est de trouver les meilleurs solutions pour optimiser le rendement des employés. Afin de réussir un projet, il est essentiel d’établir en amont des objectifs faisables et d’évaluer périodiquement leurs avancements. Pour suivre l’état de votre entreprise, pensez à choisir des logiciels modernes et personnalisables. Le suivi des performances de ses équipes Un grand nombre de dirigeants demandent l’aide d’experts en logistique connectée pour améliorer la gestion de leurs activités quotidiennes, évaluer correctement le rendement de leurs salariés ou, , mieux répondre aux besoins de leur clientèle. En vous faisant accompagner par des professionnels qualifiés et expérimentés, vous avez la possibilité de découvrir des stratégies innovantes pour développer plus rapidement votre business et capter sans grands efforts l’attention des consommateurs de votre région. Avant de revoir votre plan d’action et d’actualiser votre stratégie entrepreneuriale, il est essentiel de faire le point sur l’évolution de votre activité. Les indicateurs de mesure de performance En utilisant des outils de pilotage fiables, vous avez la possibilité de constater l’état de développement de votre business et de mesurer le degré d’atteinte de vos objectifs professionnels. Après avoir analysé attentivement les résultats de vos rapports, vous pouvez prendre des décisions correctives pour garantir la réussite de vos projets. Le rôle des outils de pilotage est de vous fournir des informations essentielles sous forme de ratios, chiffres, graphiques, scores ou indices pour chaque département, éventuellement, de chaque employé. Il est ainsi possible de mesurer correctement les performances réalisées par vos équipes à court et moyen terme. Les spécialistes d’Inside-reporting.fr vous proposent des solutions logicielles modernes et adaptables pour que vous puissiez améliorer l’activité de votre département RH. En choisissant cet outil de pilotage personnalisable, vous avez la possibilité de produire des rapports détaillés sur la performance de vos équipes. Il faut préciser que les logiciels Inside sont connectés à différents éditeurs de solutions RH.

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